mercredi 2 janvier 2008

Petites douceurs

Tel un parterre recouvert d'une mousse tendre,
Attentif aux éléments, je regarde vers le ciel,
Entouré de cette faunes et flores sauvages,
Je me prend a rêver, a contempler cette beauté
Soudain, je te vois tu te laisse aller,
Dansant au grès des vents, virevoltant,
Dans un ballet, que les éléments orchestre,
Tu t'es décrochée de cette arbre qui te retenais
Tu viens te déposer délicatement sur moi,
Je te sens légère contre moi, petite feuille,
Pourquoi a cette endroit je ne sais pas,
Tu aurais pu voyager a travers les airs,
Trouvais ton bonheur ailleurs mais tu es là,
Tes formes épousent lentement les miennes,
Unis sans vraiment l'être encore,
Si tu te plaît et laisse le temps faire,
Progressivement la nature nous unira,
Nous ne formerons plus qu'un,
Et de cette savantes unions de la nature,
Nous pourrons voir..................
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Nul n'est estampillé,
être sans vraiment être,
Attaché mais libre,
Confiant et sincère,
Tendresse et sourire,
Dans cette ressemblance,
On ne sait jamais vraiment,
On s'éloigne on se trouve,
Excitant de ne pas savoir,
On se rassure espérant que,
Paradoxal mais tentant,
De se dire que,
Tout peut s'arrêter,
Comme tout peut continuer,
Et dans cette optique,
Tout est toujours plus beau,
Toujours attentifs au jeu
Dans cette précarité apparente,
Dans ce jeu du hasard,
Illusion pour les uns,
Se cache une vérité,
Que chacun se gardera de révéler
Pour que la partie puisse continuer..

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